vendredi 31 janvier 2014

Aubade

Le calendrier 2014

A consommé modérément pour vos yeux :-)



Calendrier 2014 Aubade

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Calendrier 2014 Aubade

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Mannequin en Ukraine


LE PAYS OU TOUTES LES FILLES SONT MANNEQUINS

Mines d'or pour l'économie locale, les jeunes Ukrainiennes envahissent les podiums. Reportage au coeur de la machine à tops.



Mannequin Ukraine



Apppoline a la bouche charnue et les yeux « cours d'eau ». Elle a aussi la grâce de ses 20 ans et de l'énergie à revendre. En vérité, elle ne s'appelle pas Appoline, mais Olga, comme bon nombre de ses compatriotes. « Quand j'ai été "castée" par mon agence, raconte-t-elle, on m'a tout de suite dit : "Change de prénom si tu veux te faire remarquer, il y a trop d'Olga sur le marché !" » 

Et voilà comment la jeune top s'est retrouvée dotée de ce pseudonyme à consonance française sans avoir jamais mis les pieds hors de son pays. Depuis, elle a fait du chemin. Elle a vu Paris, Milan, New York. Elle a gagné plus d'argent que ses parents n'en gagneront jamais. Et s'apprête à s'envoler pour le Japon après avoir passé ses examens de droit. 

Entre deux partiels, elle défile sagement à la fashion week de Kiev, la capitale de son pays. En backstage, toutes les tops sont ukrainiennes. Elles s'appellent Macha, Ella, Irina, Kristina... Elles se îéjouissent d'avoir gagné le gros lot à la tombola de l'existence : elles ont été choisies pour devenir mannequins. « Je marchais dans Kiev, dit Mariya, 18 ans. Une voiture s'est arrêtée à ma hauteur et ma vie a basculé. Qui n'a jamais rêvé de porter des robes de grands designers ? » Kristina, 21 ans : « C'est tellement magique que j'ai peur que ça ne s'arrête. Ce n'est pas un métier stable. Plein de filles sont derrière, à attendre leur tour. » Katniko, 20 ans : « Dans ma ville de Tcherkassy, j'ai vu une annonce pour un concours de tops. J'ai participé et je suis aussitôt partie travailler à Kiev. » Arina, 16 ans : « J'ai étudié dans une école de mannequins où j'ai été repérée. A Milan, j'ai fait trois shows et j'en ai même ouvert un. Le début de la gloire ! » 

Toutes racontent la même histoire. Le même ^ récit, sourire aux lèvres, d'une vie qui s'entrouvre tout à coup sur des horizons meilleurs. Elles ne veulent voir que cela, cette vie possible. Surtout ne pas penser à la possibilité de l'échec. Il existe pourtant : toutes les filles ne décrochent pas le sésame pour l'Occident, loin de là. Certaines ne voient jamais leur carrière décoller. « Sur les trois cents filles de mon agence, explique Stas Yankelevskiy, directeur influent de L-Models (la plus grosse agence locale), une centaine travaillent vraiment et trente ont une carrière à l'étranger. Ce n'est pas si énorme. » Les recalées doivent gérer leurs désillusions et souvent, aussi, celles de leur famille qui attendait tant du succès de leur progéniture. 

D'autres tombent parfois sur des agents bidon qui les mènent en bateau, tentent de les faire entrer dans des réseaux de prostitution. Les chiffres, en la matière, sont opaques et invérifiables. Ce sont des déconvenues murmurées entre tops qui s'en sont sorties. Mais tout cela n'empêche pas les jeunes filles de rêver.

IL FAUT DIRE QU'EN UKRAINE LA VIE PEUT ÊTRE RUDE. 

La crise n'a pas épargné ce pays un temps doté d'une croissance à deux chiffres. L'effet magique de la « désoviétisation » puis de la libéralisation de l'économie a fait long feu. Près de 20 % de la population vit sous le seuil de pauvreté.  Le pays s'est enlisé dans les neiges de la discorde et de l'autoritarisme. Ioulia Timochenko, leader de la Révolution orange, croupit jusqu'à nouvel ordre en prison. Le gouvernement Ianoukovitch, dont les opposants dénoncent les dérives antidémocratiques, est tiraillé entre la fidélité au voisin russe et la tentation européenne. Au milieu de tout cela, la jeunesse aux abois se cherche un destin.

Pour beaucoup de jeunes filles, ce destin, c'est « mannequin ». Et tant pis pour les Femen, féministes ukrainiennes qui dénoncent à longueur de happenings l'exploitation du corps des femmes par le patriarcat. Les wannabe tops, au contraire, ne répugnent pas à faire de leur plastique un moyen d'émancipation. « Oui, c'est vraiment un fantasme pour les jeunes filles, ici, confirme la rédactrice en chef du ELLE Ukraine, Sonya Zabouga. C'est le passeport pour la vie rêvée : argent, célébrité, voyages... »

Derrière la journaliste, dans un restaurant chic du centre de Kiev, une télé diffuse en boucle Fashion TV. Comme dans tous les endroits branchés de la ville. Car la mode, en Ukraine, c'est l'eldorado. Le symbole de la réussite, du chic, de la modernité. De l'Occident. Et le manne qui nait, est la porte d'entrée vers ce monde. « Pour notre 150e numéro, reprend Sonya, nous avons consacré tout un dossier aux mannequins ukrainiennes qui cartonnent, les Irina Kravchenko, Alina Baikova, Alla Kostro- micheva... Elles sont notre fierté, nos icônes ! »

Un trésor national. Une manne insoupçonnée que, désormais, le pays s'emploie à faire fructifier. Il faut dire que les Ukrainiennes ont de sacrés atouts. « Les filles, ici, sont très belles, confirme encore Stas Yankelevskiy. Elles ont un physique particulier, fruit de nombreux mélanges ethniques, qui les rend intéressantes. » Le circuit international de la mode se les arrache, ces créatures longilignes, au regard clair et au teint pâle. Au point qu'on a parfois l'impression qu'elles sont partout, les mêmes, interchangeables. Une armée de filles en ordre de bataille, prêtes à conquérir le monde, à se servir de leur beauté pour triompher. Et sur les podiums, qui sont souvent accusés de ne pas faire assez de place à la diversité, les Ukrainiennes aux allures de clones doneraient l'impression de dominer presque sans partage. « Elles correspondent totalement aux canons de beauté de l'époque », confirme Nathalie Cros-Coitton, fondatrice et directrice de l'agence Nathalie, à Paris.

A Kiev, la fashion week a lieu dans une ancienne usine d'armement. Les mannequins débutantes y font leurs armes, les affûtent. « Ici, c'est une bonne école pour les filles, un peu comme une mini-Europe, décrypte Stas Yankelevskiy. Lors des shows, elles apprennent leur métier en conditions réelles : défiler, poser, être pro. Ensuite, lorsqu'elles partent à l'étranger, elles sont fin prêtes et opérationnelles. » 
Autour d'elles, c'est donc tout un business qui s'est bâti pour faire tourner la machine. « Les Ukrainiens sont très organisés, reprend Nathalie Cros-Coitton. Le business est carré. Les agents sont fiables, impliqués. Ils suivent leurs filles de près. » Pour les quelques agences d'excellence, celles avec qui dea- lent leurs homologues occidentales, il n'y a pas de place pour l'à-peu-près, pour les commerces louches, réseaux illicites, filles exploitées. 

Cinq agences trustent le marché. Il en existe, en tout, une dizaine. « Il y a une vingtaine d'années, lorsque l'Ukraine est devenue indépendante, le business du mannequinat n'existait pas, explique Irina Tymofeyeva, directrice générale de L-Models et ancienne top model. Au début, il y a eu, comme en Russie, des dérapages, de l'amateurisme. Il n'y avait pas de fashion week, pas d'agences dignes de ce nom. Il n'y avait pas non plus de marché local : nous nous contentions d'importer des publicités occidentales. Aujourd'hui, nous avons compris ce qu'étaient les standards internationaux et nous sommes devenus très bons ! » 
Tout serait donc idyllique au pays des mannequins ? « Non, bien sûr, c'est souvent très difficile pour les filles qui n'y arrivent pas. L'attente est énorme, le sentiment d'échec aussi », poursuit Irina. Toutes espèrent aussi durer dans le métier. Faire assez d'argent pour envisager une reconversion. 

LES UKRAINIENNES SONT HYPER BOSSEUSES

Et déterminées », explique Vick Mihari, président de l'agence Elite Model. « Elles ne sont pas fêtardes, pas excessives. Pas là pour rigoler, en fait, renchérit Nathalie Cros-Coitton. Elles ne pensent qu'à bosser pour s'en sortir et aider leur famille. Je les trouve d'un grand courage. » En backstage, à la fashion week à Kiev, au milieu de toutes ces modèles qui s'agitent, on repère parfois une mère un peu lasse ou un père protecteur. « Mon papa m'accompagne partout, révèle la jeune Arina. Je rêvais de faire ce métier, mon père me soutient. Je vis encore chez mes parents mais je compte bien pouvoir bientôt les aider financièrement. » Peut-être sera-t-elle demain la « new face » que le monde entier se dispute. Le visage de l'époque. Le fruit convoité de cette méthode à l'ukrainienne, implacable. Statistiquement, en tout cas, Arina a toutes ses chances. 

TOUTES PAREILLES ?

Sur les podiums, Elles donnent parfois l'impression d'une armée de clones, les llonq, Nastya, Olga : ces filles immenses, au regard clair, au teint très pale, aux pommettes hautes.
Au point qu'elles semblent parfois interchangeables. Les professionnels du mannequinat s'accordent à dire qu'elles incarnent totalement les canons de beauté de l'époque. Revers de la médaille : reproche est souvent fait aux podiums de ne mettre en valeur qu'un seul type de fille, sacrifiant ainsi toute diversité ou représentativité. Pour l'instant, les Ukrainiennes, ainsi que leurs homologues russes, profitent à fond de cette aubaine, être « le » physique du moment. Jusqu'à quand ?


1. Olena Sumara.
1. Ilona Reznichenko.
3. Nastya Omelchuk,
4. Alika Kozlova.
5. Appoline Rozhdestvenska.
6. Nastya Nikitchina.
7. Anna Volovnyk.
8. Marina Anoschenko.
9. Veronika Terokhina.

Top model en Ukraine

Top model en Ukraine
Mannequin Ukraine

Mannequin Ukraine

jeudi 30 janvier 2014

Mannequin l'Oreal Paris

Lara Stone


Nouvelle venue dans la dream team beauté des égéries l'Oreal Paris, Lara Stone represente avec elegance l'inédite gamme de rouges à levres Color riche extraordinaire




Lara Stone

mercredi 29 janvier 2014

FHM girlfriend

Lauren


Si vous pensiez que Mila Kunis avait un coté obscur dans Black Swan, voici Lauren, la danseuse de ballet rebelle et son gout immodéré pour la house musique. Le canon de beauté à 21 ans et elle vit a Windsor et elle est professeur de ballet dans la vie. Son compte instagram : @_LaurentLoretta






Lauren Loretta

Lauren Loretta

Lauren Loretta

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